mardi 13 août 2013

Texte

J’ai des idées dans la tête, par centaine, par milliers.
Je doute être la seule, et je doute même avoir l’imagination la plus fertile du monde.
Mais ces idées dans la tête, par douzaines, par milliards,
Envahissent mon esprit, qui à lui seul se sent perdu.

Alors j’écris, pour parvenir à me débarrasser de ces idées parasites, qui brouillent mes pensées, et me font trop rêver. J’écris, pour me vider, comme la plupart des gens sur cette Terre. Mais ce que j’écris s’embrouille, me déplait, me lasse, c’est trop long, trop bien prévu, je sais déjà comment ça se fini, le plan est bien trop défini.
Donc, j’arrête.

Comme ça, paf. Et si je me force pas à continuer, je le fais pas, et je laisse ce texte dans un autre dossier, au nom merveilleux de « travaux inachevés ». Mais ce n’est pas grave, car d’autres idées d’histoire viennent dans ma tête. C’est un peu comme une boucle, de textes qui ne se finiront pas parce que j’ai juste écrit ce que j’avais en tête, qu’il n’y a plus rien d’autre et que ça se suffit à soi même.

Et puis il y a les RPs. Eux c’est des textes tout particuliers, où je me met dans la tête d’un personnage, où j’oublie que je suis moi, et surtout que je vis ce que j’écris réellement. C’est souvent que je réagis aux posts de mes propres personnages. Que je trouve ça beau, même si ce que j’écris est sûrement maladroit et parfois peut-être incompréhensible.
Mais en ce moment je le fais pas souvent. Pas assez souvent. Trop rarement. C’est pas bien.

Et puis il y a aussi les occasions pour écrire, et pour un mois où je dois faire le plus de mot possible,c’est mal barré. Entre les évènements qui surviennent d’un coup, les fois où il y a ma famille, les fois où de toute façon je préfère lire, et tout ça.
Alors j’écris la nuit. Parce que de toute façon depuis que je suis petite, j’écris la nuit, je fais tout la nuit. J’adore la nuit. Peut-être parce que c’est frais, joli, et que le vent y souffle.
Mais j’ai peur de la nuit, mais ceci est un autre sujet.

Ce texte est fini, pour la simple et bonne raison que j’avais juste envie de dire un peu ce que je pensais, que j’avais pas envie de continuer ma nouvelle, même si je le dois, je le sais très bien, de toute façon j’aime quand même ce que j’écris.
Mais qu’est ce que ça va être quand je vais la relire, hein ?

On verra bien. 

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